La fin de la branlette

La femme est un objet sexuel. Une fois lassé de la branlette le garçon devient homme et se tourne vers la femme. Que tout le monde garde son calme! Il n'y aura pas de blessé si tout le monde fait comme on vous dit. Rappelez-vous que nous n'en savons pas plus que vous.

Qu'est ce qui les fatigue au point d'être de mauvaise humeur? Qu'est ce qui leur fait peur à ce point là? Comment ils n'essayent même pas? Il m'est arrivé d'être abatu comme ca. L'énergie gaspillé pour d'autres choses inutiles. Et après il faut tant d'efforts pour trouver des amis...

Je suis fatigué, je n'arrive pas à dormir. Le voisin est fou, le trafic dans la rue, les baines a ordures, le froid. J'ai besoin de dormir moi aussi. Je ne me plainds pas trop, de toutes façons ce n'est pas bon de rester trop chez soit. J'ai une vie simple et silencieuse. Je lis, je regarde les films et j'écoute la musique. Les autres font du bruit. J'ai pris une décision.

Je ne suis pas marin, je ne suis pas un dur. Inutile d'éssayer. Je n'impressione pas grand monde. J'ai pas grand chose à donner, j'ai plus à prendre. Je ne sais pas quoi faire alors je suit, je reste dans le sillage du premier venu. Tant pis si ils sont ennuiyeux ou bizarre ou môches. Ca me suffit pour me distraire, je ne suis pas si éxigeant. Je suis tout simple. Y a du bon a prendre dans chaque situation. J'ai remarqué que ca se passait mieux quand les gens sont à l'aise. Alors je fait de mon mieux pour qu'ils le soient, sauf les cons que j'aime bien faire chier.

Je n'en veux pas aux autres. Je ne suis pas si jaloux. La chance me sourit a moi aussi parfois. Malheureusement, parfois je ne suis pas d'humeur. Je suis fatigué, comme tout le monde. Mon energie disparaît, gaspillé, utilisé pour rien, en rêves et en défouloires qui ne m'apportent plus grand chose. Les autres n'y sont pour rien, je sais ce qu'il me reste à faire. Je doit me concentré sur ces filles que je croise dans la rue, dans mon quartier. Je les revois plusieurs fois par hasard. Je doit faire quelque chose, essayer de leurs parler. Ne pas trembler, ne pas faire n'importe quoi. J'ai besoin de force et de concentration. Ma décision est prise : j'arrête la branlette. Je ne veux plus imaginer, je ne veux plus faire comme ci. J'ai été trop mou, trop fatigué. J'ai besoin de la violence de la frustration. La seul façon de me libéré sera de leurs parler, de leurs faire l'amour. J'ai besoins d'elles maintenant mais ma volonté est ferme.

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